Titre original : « That’s My Wife »
L’oncle Bernal surgit à l’improvise chez Oliver Hardy pour lui annoncer qu’il va faire de lui son légataire mais à la condition qu’il soit heureux en ménage. Il tombe particulièrement mal car M. et Mrs Hardy viennent de se disputer et cette dernière vient de quitter le domicile conjugal. Qu’à cela ne tienne, Stan Laurel va se travestir et jouer le rôle de l’épouse modèle…
L’idée de base de That’s My Wife est dérivée d’un court métrage de 1926 Along Came Auntie où Oliver Hardy apparaissait seul (1). Mais ici, le signataire du scénario Leo McCarey va beaucoup plus loin puisque Stan Laurel est déguisée en femme et le reste ensuite pendant la totalité du film. Le travestissement est utilisé comme ressort principal d’humour, assez subtilement, sans vulgarité ni facilité. Très convaincant, Stan Laurel joue le rôle avec un naturel presque désarmant. En outre, le film est doté d’un final brillant. Mal connu, That’s My Wife mérite pourtant de figurer parmi les meilleurs courts métrages muets de Laurel et Hardy. (Court métrage muet, 2 bobines)
Elle: –
Lui :
Acteurs: Stan Laurel, Oliver Hardy
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(1) Along Came Auntie de Fred Guiol et Richard Wallace avec Glenn Tryon, Vivien Oakland et Oliver Hardy. Dans ce court métrage, une femme avait divorcé et voulait le cacher à une vieille tante riche. Oliver Hardy joue le premier mari. Il s’agit essentiellement de slapstick, sans grande originalité toutefois.
A noter que Vivien Oakland interprète ici la femme d’Oliver dans la scène d’ouverture.
Stan Laurel et Oliver Hardy (+ figurant) dans That’s My Wife de Lloyd French.
Stan Laurel, Oliver Hardy et Jimmy Aubrey dans That’s My Wife de Lloyd French.