9 février 2013

La Chaleur du sein (1938) de Jean Boyer

La chaleur du seinUn jeune homme se retrouve à l’hôpital après avoir tenté de se suicider. Trois mères aimantes se présentent successivement à son chevet mais aucune n’est sa vraie mère. Celle-ci est morte à sa naissance et son père s’est remarié ensuite trois fois. Le père, égyptologue, étant en déplacement, les trois « mères » vont devoir unir leurs efforts pour que le fils puisse retrouver une certaine joie de vivre… La Chaleur du sein est l’adaptation d’une pièce de théâtre à succès écrite par André Birabeau. Sa pièce était une satire sociale, raillant les mœurs modernes et le divorce qui mettent à mal la famille. En portant la pièce à l’écran, Jean Boyer a gardé le même acteur pour interpréter le jeune homme, Jean d’Orgeix, alias Jean Pâqui (1), et l’a entouré de plusieurs excellents acteurs. Comme toutes les comédies qui reposent sur une satire sociale de leur époque, La Chaleur du sein peine un peu à traverser le temps et peut paraître très daté. Néanmoins, les bons dialogues, vifs et intelligents, et l’interprétation parfaite permettent de garder l’intérêt intact. L’humour repose beaucoup sur la juxtaposition des mentalités différentes des trois mères, Arletty, la plus jeune des trois, étant bien entendu la plus moderne et la plus libérée. Il manque toutefois un petit quelque chose pour faire de La Chaleur du sein un très bon film. Il reste néanmoins plaisant.
Elle:
Lui : 3 étoiles

Acteurs: Michel Simon, Arletty, Gabrielle Dorziat, Pierre Larquey, Jean Pâqui, Jeanne Lion, Marguerite Moreno, François Périer
Voir la fiche du film et la filmographie de Jean Boyer sur le site IMDB.

Remarques :
* Dans la scène où le jeune Gilbert et son ami se font des confidences sur leur enfance, l’ami est interprété par François Périer ; il s’agit de sa première apparition au cinéma.
* Le film était perdu mais fut heureusement retrouvé dans les années 80.

(1) Jean d‘Orgeix avait alors 17 ans. Il sera ensuite également champion du monde de voltige aérienne, pilote de stock-car, champion olympique d’équitation, guide de chasse en Afrique… Il est décédé en 2006 à l’âge de 85 ans.

8 février 2013

Flamme de mon amour (1949) de Kenji Mizoguchi

Titre original : « Waga koi wa moenu »

Flamme de mon amourNous sommes au Japon, à la fin du XIXe siècle. Après la fermeture arbitraire de l’école pour jeunes filles qu’elle avait fondée, Eiko se rend à Tokyo et devient chroniqueuse dans le journal du Parti Libéral qui milite pour l’instauration d’une constitution… Dans la ligne de La Victoire des femmes qu’il avait tourné trois années plus tôt, Flamme de mon amour retrace le parcours de la militante féministe Hideko Fukuda (1), parfois surnommée « la Jeanne d’Arc japonaise ». S’il puise ainsi dans l’histoire du Japon, c’est pour mieux évoquer la situation actuelle de son pays et les nécessaires évolutions de société. Il met donc ostensiblement en relief le machisme des hommes (y compris au sein du parti le plus progressiste de l’ère Meiji) pour mieux montrer que la situation n’a pas tant évolué depuis. Par rapport à son film précédent, une incursion dans le néoréalisme à l’italienne, le style de Mizoguchi est ici plus formel, assez beau, avec de grands travellings et de belles envolées lyriques. Belle scène finale porteuse d’un élan et d’un optimisme assez inhabituel chez Mizoguchi. Flamme de mon amour est un grand et beau film féministe.
Elle:
Lui : 4 étoiles

Acteurs: Kinuyo Tanaka, Mitsuko Mito, Kuniko Miyake, Ichirô Sugai
Voir la fiche du film et la filmographie de Kenji Mizoguchi sur le site IMDB.

Voir les autres films de Kenji Mizoguchi chroniqués sur ce blog…

Remarque :
Flamme de mon amour est adapté d’un roman de Kôgo Noda tiré de l’autobiographie de Hideko Fukuda , « Warawa no hanshogai ».

(1) Hideko Fukuda (1865-1927) est également connue sous son nom de jeune fille : Hideko Kageyama.

7 février 2013

Passion ardente (1967) de Yoshishige Yoshida

Titre original : « Jôen »
Autre titre français : « Passion obstinée »

Passion obstinéeOriko a un mari qui lui reproche sa froideur. Rien ne se passe entre eux. Oriko est en réalité hantée par le souvenir de sa mère qui a eu plusieurs amants avant de périr dans un accident… Le propos de Passion ardente est sans doute un peu difficile à cerner et il n’a pas toujours été bien interprété. En réalité, Yoshishige Yoshida nous met, une fois de plus, en présence d’une jeune femme mariée sans amour, à la recherche de son équilibre. Mais cette fois, ce ne sont pas les hommes qui l’empêchent de le trouver, les causes de sa fragilité se situent dans son enfance et dans sa relation (ou plutôt son absence de relation satisfaisante) avec sa mère. De plus, elle nourrit un fort sentiment de culpabilité, se sentant responsable de sa mort. Il faudra qu’Oriko marche sur les traces de sa mère et reproduise l’un de ses actes charnels pour qu’elle commence à se libérer de son emprise et qu’elle puisse envisager vivre sa propre vie. Passion ardente est plutôt moins fort que les autres films précédents de Yoshishige Yoshida, le réalisateur nous gratifiant certes de plans graphiquement très beaux mais qui semblent, cette fois, un peu plaqués. Il a fait un travail étonnant sur la bande sonore, nous surprenant souvent par des solutions audacieuses (une sirène en boucle pour illustrer l’émoi intérieur, le silence d’une scène filmée au travers d’une vitre, le décalage des dialogues, etc.) L’image, en noir et blanc, est très contrasté, plus encore qu’à l’habitude, ce qui donne une image plutôt dure. Ce film de Yoshishige Yoshida est toutefois loin d’être sans attrait.
Elle:
Lui : 3 étoiles

Acteurs: Mariko Okada, Tadahiko Sugano, Shigako Shimegi, Isao Kimura
Voir la fiche du film et la filmographie de Yoshishige Yoshida sur le site IMDB.

Voir les autres films de Yoshishige Yoshida chroniqués sur ce blog…

Remarque :
Le titre Passion ardente ne facilite pas la compréhension du propos du film. La passion dont il est question est plus recherchée que présente, et si elle est « ardente », ce n’est que dans l’esprit d’Oriko. L’autre traduction, Passion obstinée, me semble mieux traduire les sentiments de cette femme car Oriko désire cette passion, c’est même devenu une obsession chez elle.

6 février 2013

L’Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford (2007) de Andrew Dominik

Titre original : « The Assassination of Jesse James by the coward Robert Ford »

L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert FordJesse James est une légende aux Etats Unis. Ce Robin des Bois de la seconde moitié du XIXe siècle, qui attaquait banques et trains avec son frère Frank, fut très populaire, y compris de son vivant ; il est ancré durablement dans les esprits que Robert Ford, son assassin, est un misérable lâche particulièrement méprisable. Le film d’Andrew Dominik tente de réhabiliter Robert Ford ou du moins d’expliquer son geste dont les circonstances restent toujours si mystérieuses (1). Le Jesse James qu’il nous montre n’est à aucun moment glorifié, son altruisme n’étant qu’à peine évoqué. En revanche, il nous le décrit comme un homme traqué, ayant perdu tout idéal, sans ami, condamné à chercher le moindre indice de traitrise chez ses proches. Son assassinat devient ainsi un aboutissement logique, même espéré. Dans sa forme, L’Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford se déroule avec une langueur envoûtante, assez beau dans ses images, avec de belles scènes nocturnes. Casey Affleck fait une belle prestation.
Elle:
Lui : 3 étoiles

Acteurs: Brad Pitt, Casey Affleck, Sam Shepard, Sam Rockwell, Jeremy Renner, Garret Dillahunt, Paul Schneider
Voir la fiche du film et la filmographie de Andrew Dominik sur le site IMDB.

Remarques :
* Un film avait préalablement tenté d’expliquer le geste de Robert Ford (une histoire d’amour étant supposée être le moteur de cet assassinat) : J’ai tué Jessie James (I shot Jesse James) de Samuel Fuller (1949) avec John Ireland et Reed Hadley.
* La chanson traditionelle Jesse James est apparue peu après l’assassinat. Cette chanson a grandement contribué à marquer durablement Robert Ford comme étant un « dirty little coward ». Ce morceau est toujours vivace : Bruce Springsteen l’a récemment repris.

Principaux autres films sur Jesse James :
Jesse James as the Outlaw de Franklin B. Coates (1921) avec Jesse James Jr (son fils)
Le brigand bien aimé (Jesse James) d’Henry King (1939) avec Tyrone Power et Henry Fonda
Adventures of Frank and Jesse James de Fred C. Brannon et Yakima Canutt (1948) avec Clayton Moore
J’ai tué Jessie James (I shot Jesse James) de Samuel Fuller (1949) avec John Ireland et Reed Hadley.
Jesse James, le brigand bien-aimé (The True Story of Jesse James) de Nicholas Ray (1957) avec Robert Wagner
A noter en outre, qu’IMDB liste 80 films où apparaît le personnage de Jesse James.

(1) Le fait que Jesse James ait oté ses armes pour aller épousseter un tableau est un fait historique, du moins est-ce ainsi que les frères Ford ont rapporté la scène aux autorités.

5 février 2013

Habemus Papam (2011) de Nanni Moretti

Habemus PapamUn nouveau pape vient d’être élu. Au moment de faire sa première apparition publique au balcon, il panique et se réfugie dans ses appartements. Il avoue de pas avoir la force d’assumer la charge que ses pairs lui ont confiée… Alors que l’on pouvait attendre un film anticlérical, Habemus Papam est plus une réflexion existentielle sur la direction que nous donnons à notre vie, le contrôle que nous avons sur ces choix, sur l’aboutissement d’une vie consacrée à un idéal. Nanni Moretti aurait certainement pu placer cette situation dans un tout autre cadre mais le fait de la situer au Vatican permet de tout exacerber grâce aux règles très strictes en vigueur (personne ne doit sortir du Vatican tant que le nouveau pape ne s’est pas montré). Cela lui permet d’apporter également une touche d’humour, sans hésiter à forcer un peu le trait avec son tournoi de volley-ball. Moretti place également une réflexion sur le rôle d’acteur : où s’arrête le jeu et où commence la réalité ? Habemus Papam a d’ailleurs un petit côté « réalité suspendue » par le contraste entre le monde extérieur dans l’expectative et le petit monde isolé du Vatican où un semblant de vie s’organise. Moretti maitrise parfaitement la mise en scène, toujours crédible même dans ses scènes les plus vastes. Il a en outre toujours ce talent pour mêler habilement réflexion et dérision, mélange qui rend ses films attachants.
Elle: 4 étoiles
Lui : 4 étoiles

Acteurs: Michel Piccoli, Jerzy Stuhr, Nanni Moretti, Margherita Buy
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Remarque :
Habemus Papam est la phrase latine rituellement prononcée lors de l’élection d’un nouveau pape : « Nous avons un pape ».

4 février 2013

The Manxman (1929) de Alfred Hitchcock

The Manxman(Film muet) Sur l’île de Man, Pete est amoureux de la jeune Kate sans se rendre compte que Philip, son ami d’enfance, en est aussi très épris. Pete décide de partir faire fortune à l’étranger pour pouvoir l’épouser et demande à son loyal ami Philip de veiller sur elle en son absence…
The Manxman (= « l’homme de l’île de Man ») est le dernier film muet d’Hitchcock. Adaptation d’un roman à succès de Sir Hall Caine, il s’agit d’un mélodrame certes très classique mais fort bien mis en scène par le réalisateur anglais, bien qu’il l’ait plus tard jugé comme étant un film « très ordinaire », et ajoute-t-il « sans humour ». L’atmosphère des îles anglaises est bien transcrite à l’écran avec ce mélange d’isolement et d’autarcie (1). C’est le second film d’Hitchcock avec l’acteur danois Carl Brisson qui montre ici une belle présence à l’écran. Ses plans en « regard caméra » sont étonnants d’intensité. Mais c’est la belle Anny Ondra qui attire les regards : c’est la toute première « blonde hitchcockienne » (elle tournera également dans le célèbre Blackmail, le film suivant du réalisateur). The Manxman est un film fort bien réalisé ; ses faiblesses se trouvent plutôt du côté du scénario, vraiment très conventionnel. Moins connu que The Lodger, le film est à classer parmi les meilleurs films muets d’Hitchcock.
Elle:
Lui : 3 étoiles

Acteurs: Carl Brisson, Malcolm Keen, Anny Ondra
Voir la fiche du film et la filmographie de Alfred Hitchcock sur le site IMDB.

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Remarques :
* The Manxman est l’un des rares films où Hitchcock ne fait pas sa traditionnelle apparition en figurant.
* Serait-ce une facétie du réalisateur ? La phrase la plus importante du film prononcée par Anny Ondra, à un des moments les plus tragiques, n’a pas d’intertitre. On doit donc la deviner (ou la lire sur les lèvres : « Philip, I am going to have a baby ») et nous n’en n’avons confirmation que quelques minutes plus tard grâce à un intertitre d’un autre personnage !

(1) En réalité, le film a été tourné dans le village de Polperro dans les Cornouailles.

3 février 2013

Les Professionnels (1966) de Richard Brooks

Titre original : « The Professionals »

Les professionnelsA l’époque de la Révolution mexicaine, un riche propriétaire texan recrute quatre hommes pour aller délivrer sa jeune épouse qui a été enlevée et emmenée au-delà de la frontière. Chacun est expert en son domaine : le maniement des armes à feu, éclaireur et tir à l’arc, le dynamitage, le soin des chevaux… Avec le recul, il apparaît clairement que Les Professionnels de Richard Brooks s’inscrit pleinement dans une période charnière du western, une époque où le genre cherchait un nouveau souffle entre classicisme et irruption du western italien, avant de déboucher sur des films plus violents comme La Horde sauvage de Peckinpah (1). Ici, l’accent est mis sur les personnages qui, outre leur excellence dans un domaine particulier, sont dotés d’une vraie personnalité et d’une conscience qui entrainent questionnements et dilemmes moraux. Richard Brooks donne ainsi par leur biais une certaine dimension philosophique et politique à son film. Mais le film garde ses scènes d’action, bien amenées par un scénario qui se déroule intelligemment. Sous une apparence de film d’action, Les Professionnels est donc doté d’une indéniable profondeur ; il peut ainsi être vu à plusieurs niveaux. On remarquera la belle utilisation des décors naturels et l’excellente interprétation.
Elle:
Lui : 3 étoiles

Acteurs: Burt Lancaster, Lee Marvin, Robert Ryan, Woody Strode, Jack Palance, Claudia Cardinale
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(1) La Horde sauvage (The Wild Bunch) de Sam Peckinpah (1969).

2 février 2013

Les Femmes de la nuit (1948) de Kenji Mizoguchi

Titre original : « Yoru no onnatachi »

Les femmes de la nuitDans le Japon de l’après-guerre, Fusako apprend que son mari dont elle espérait le retour est décédé. Elle doit subvenir seule à ses besoins et à celle de sa sœur qu’elle a retrouvée, entraineuse dans un cabaret. Elle en vient à envisager la prostitution… Impressionné par les premiers films néoréalistes italiens (1), Kenji Mizoguchi change de style et signe son film le plus sombre. Tourné en grande partie en décors réels, dans les quartiers pauvres d’Osaka encore fortement marqués par les dégâts de la guerre, Les Femmes de la nuit décrit la descente aux enfers de trois femmes qui en viennent à se prostituer pour simplement pouvoir vivre. Avec son scénariste Yoshikata Yoda, le réalisateur est allé à la rencontre des prostituées et parvient donc à une description très réaliste des relations qu’elles ont entre elles. Il montre comment ces femmes reproduisent la violence que la société leur fait subir. Ses images sont brutes et sans fard. Certaines scènes sont très fortes, assez violentes aussi. Toute la dernière scène du film est particulièrement poignante et puissante. En montrant la condition tragique de certaines femmes, Mizoguchi dresse aussi le portrait de son pays, dévasté et meurtri par la guerre, le montrant sans optimisme dans sa triste réalité.
Elle:
Lui : 4 étoiles

Acteurs: Kinuyo Tanaka, Sanae Takasugi, Tomie Tsunoda, Mitsuo Nagata
Voir la fiche du film et la filmographie de Kenji Mizoguchi sur le site IMDB.

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Remarques :
* Le film est adapté d’un roman d’Eijirô Hisaita.
* Un autre film de 1948 porte en français un titre très proche : Femmes dans la nuit (Women of the night) de l’américain William Rowland.

(1) Le premier grand film néoréaliste Rome, ville ouverte de Roberto Rossellini est sorti en 1945.

 

1 février 2013

The Mask (1994) de Chuck Russell

The MaskUn modeste employé de banque trouve un masque ancien qui le transforme en super-héro aux pouvoirs surnaturels… The Mask capitalise sur les effets spéciaux de la compagnie de George Lucas, Industrial Light and Magic, en allant plus loin que Qui veut la peau de Roger Rabbit? qui mêlait personnages réels avec des personnages de dessins animés. Ici, le personnage réel devient un personnage de dessins animés. L’histoire est adaptée d’un comix Dark Horse, un personnage créé par Mike Richardson, lui-même inspiré de nombreuses bandes dessinées. Tous les aspects violents du comix ont été gommés pour faire un divertissement visible par tous. Dans sa forme, The Mask est très fortement inspiré des dessins animés de Tex Avery, les créateurs du film allant jusqu’à refaire la célèbre scène de la chanteuse et du spectateur enthousiaste. Les effets sont spectaculaires mais jamais trop poussés, l’humour n’est jamais répétitif, les références sont nombreuses. Jim Carrey est assez inoubliable avec son jeu totalement déjanté. A sa sortie, le film fit l’effet d’une petite bombe car il ne ressemblait à rien qui avait été déjà fait. The Mask est jubilatoire et reste hilarant vingt ans après sa sortie. « Smokin’… »
Elle:
Lui : 4 étoiles

Acteurs: Jim Carrey, Peter Riegert, Peter Greene, Cameron Diaz
Voir la fiche du film et la filmographie de Chuck Russell sur le site IMDB.

31 janvier 2013

Sommaire de janvier 2013

Coups de feu sur BroadwayEt maintenant on va où?L'amour de l'actrice SumakoLe lac de la femmeThe star witnessPolisseLe jour où la terre prit feuLa harpe de Birmanie

Coups de feu sur Broadway

(1994) de Woody Allen

Et maintenant on va où?

(2011) de Nadine Labaki

L’Amour de l’actrice Sumako

(1947) de Kenji Mizoguchi

Le Lac de la femme

(1966) de Yoshishige Yoshida

The star witness

(1931) de William A. Wellman

Polisse

(2011) de Maïwenn

Le Jour où la terre prit feu

(1961) de Val Guest

La Harpe de Birmanie

(1956) de Kon Ichikawa

Mort à VeniseLa jetéeL'armée des 12 singesCinq femmes autour d'UtamaroRestlessLa belle aventurièreUn mariageDespair

Mort à Venise

(1971) de Luchino Visconti

La Jetée

(1962) de Chris Marker

L’Armée des 12 singes

(1995) de Terry Gilliam

Cinq Femmes autour d’Utamaro

(1946) de Kenji Mizoguchi

Restless

(2011) de Gus Van Sant

La Belle Aventurière

(1949) de Frederick De Cordova

Un mariage

(1978) de Robert Altman

Despair

(1978) de Rainer Fassbinder

Histoire écrite par l'eauLes vacances de Monsieur HulotLa dernière PisteLe cave se rebiffeThe Shanghai GestureLa planète des singes: Les originesLa vengeance est à moiLilly Turner

Histoire écrite par l’eau

(1965) de Yoshishige Yoshida

Les Vacances de Monsieur Hulot

(1953) de Jacques Tati

La Dernière Piste

(2010) de Kelly Reichardt

Le cave se rebiffe

(1961) de Gilles Grangier

The Shanghai Gesture

(1941) de Josef von Sternberg

La Planète des singes: Les origines

(2011) de Rupert Wyatt

La vengeance est à moi

(1979) de Sh?hei Imamura

Lilly Turner

(1933) de William A. Wellman

Le retour de l'enfant prodigue

Le Retour de l’enfant prodigue

(1976) de Youssef Chahine

Nombre de billets : 25