9 août 2021

En avant (2020) de Dan Scanlon

Titre original : « Onward »

En avant (Onward)Ian et Barley Lightfoot sont deux jeunes elfes qui ont perdu leur père très tôt. Ils habitent une ville peuplée de créatures fantastiques (elfes, trolls, lutins ou encore licornes), mais dont la magie ancestrale a peu à peu disparu. Aujourd’hui, Ian vient d’avoir seize ans et sa mère dévoile aux deux frères que leur père leur a légué un objet inattendu : un bâton magique…
En avant est le 22e long-métrage d’animation en images de synthèse des studios Pixar. Il est coproduit par Walt Disney Pictures. Assez différent des précédentes productions Pixar, l’univers est un peu hétéroclite mais on retrouve comme toujours une bonne dose d’humanité dans les personnages. Les thèmes abordés sont classiques et très appuyés : la quête du père disparu, la confiance en soi, la relation fraternelle, le passage vers l’âge adulte. La routine, quoi. Le scénario ressemble quelque peu à un jeu de rôle qui aurait pris vie. Graphiquement, le film est bien réalisé mais n’est aussi remarquable que d’autres productions Pixar. Tout cela est un peu décevant, à mes yeux du moins car le film a été très bien reçu par la critique et le public. En avant est néanmoins un échec financier car sa sortie a été perturbée par les confinements dûs au Covid-19.
Elle:
Lui : 2 étoiles

Acteurs (voix) : Tom Holland, Chris Pratt, Julia Louis-Dreyfus, Octavia Spencer
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En avant (Onward)En avant (Onward) de Dan Scanlon.

8 août 2021

Night Call (2014) de Dan Gilroy

Titre original : « Nightcrawler »

Night Call (Nightcrawler)Ex-voleur de matériaux sur les chantiers, Lou Bloom est un homme ambitieux qui cherche une opportunité de réussite. Il pense l’avoir trouvée après avoir observé un caméraman indépendant venu filmer sur le lieu d’un accident. Il achète une caméra et un scanner radio pour écouter les communications de la police…
Night Call (la traduction littérale du titre est « somnambule ») est un film américain écrit et réalisé par Dan Gilroy. L’intention est de dénoncer les médias à sensation, ces chaînes de télévision américaines locales qui capitalisent sur la peur en diffusant des images les plus choquantes possibles de délinquance et d’accidents. Le film est porté par la composition de Jake Gyllenhaal. Son personnage est un véritable monstre, cynique, manipulateur. Les raisonnements qu’il énonce avec une froideur absolue sont terrifiants car ils ont souvent quelque chose de brillant. Cette ambivalence nous met mal à l’aise de façon constante. L’atmosphère en devient lourde et sordide. Toutes les scènes se déroulent la nuit donnant au film une allure de polar urbain. Night Call a été bien reçu par la critique et le public.
Elle:
Lui : 3 étoiles

Acteurs: Jake Gyllenhaal, Rene Russo, Riz Ahmed, Bill Paxton
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Night Call (Nightcrawler)Jake Gyllenhaal dans Night Call (Nightcrawler) de Dan Gilroy.

7 août 2021

Le Masque de la mort rouge (1964) de Roger Corman

Titre original : « The Masque of the Red Death »

Le Masque de la mort rouge (The Masque of the Red Death)Dans l’Italie du XIIe siècle, Prospero, un prince adorateur de Satan, fait brûler un village par crainte de la « mort rouge » et emmène de force la jeune Francesca avec lui. Dans son château, il abrite tous les nobles du voisinage et prétend qu’ils y sont à l’abri de la maladie. Il les divertit en donnant chaque jour des fêtes et un bal masqué…
Le Masque de la mort rouge (The Masque of the Red Death) est un film fantastique américano-britannique réalisé par Roger Corman. Le scénario est inspiré par la nouvelle homonyme d’Edgar Allan Poe et aussi par la nouvelle Hop-Frog (pour la partie du nain et de la petite danseuse). Le personnage de Prospero, personnifié par Vincent Price, est particulièrement réussi. Il donne au film une dimension inattendue avec ses réflexions philosophiques, l’ensemble semble ainsi prendre parfois une tournure bergmanienne. Prospero n’est pas seulement un tyran, c’est un intellectuel. Nous sommes loin du manichéisme usuel. « Dans mon esprit, personne ne gagne, ni le Bien ni le Mal » a précisé Corman à propos du film. Les décors sont somptueux et les couleurs magnifiques. Le Masque de la mort rouge est à juste titre souvent considéré comme le film plus ambitieux au sein des adaptations d’Edgar Allan Poe par Roger Corman.
Elle:
Lui : 4 étoiles

Acteurs: Vincent Price, Hazel Court, Jane Asher, David Weston, Nigel Green, Patrick Magee
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* La maladie appelée « Mort Rouge » est fictive. Poe la décrit comme causant « des douleurs aigües, un vertige soudain, et puis un suintement abondant par les pores, et la dissolution de l’être » avec comme symptôme « des taches pourpres… sur le visage de la victime », et entraînant la mort en une demi-heure. Il est probable que cette maladie soit inspirée par la tuberculose puisque l’épouse de Poe, Virginia, en souffrait au moment où la nouvelle a été écrite. Mais la Mort Rouge peut aussi faire référence au choléra, Poe ayant été témoin d’une épidémie de cette maladie à Baltimore en 1831. D’autres analystes ont suggéré qu’il s’agissait en fait de la peste bubonique (représentant plus particulièrement l’épidémie de peste noire) en se basant sur la fin du récit représentant la « Mort Rouge » dans la pièce noire. Enfin, il a également été suggéré que la Mort Rouge n’est pas une maladie mais quelque chose qui est partagé de façon inhérente par toute l’humanité. (Source Wikipedia, article sur la nouvelle de Poe)

Le Masque de la mort rouge (The Masque of the Red Death)Jane Asher et Vincent Price dans Le Masque de la mort rouge (The Masque of the Red Death) de Roger Corman.

Le Masque de la mort rouge (The Masque of the Red Death)Verina Greenlaw dans Le Masque de la mort rouge (The Masque of the Red Death) de Roger Corman.

Le Masque de la mort rouge est la septième des huit adaptations d’histoires d’Edgar Allan Poe réalisées par Roger Corman entre 1960 et 1964 :
1. La Chute de la maison Usher (House of Usher, 1960)
2. La Chambre des Tortures (The Pit and the Pendulum, 1961)
3. L’Enterré vivant (The Premature Burial, 1962)
4. L’Empire de la terreur (Tales of Terror, 1963)
5. Le Corbeau (The Raven, 1963)
6. La Malédiction d’Arkham (The Haunted Palace, 1963)
7. Le Masque de la mort rouge (The Masque of the Red Death, 1964)
8. La Tombe de Ligeia (The Tomb of Ligeia, 1964)

6 août 2021

Parfum de femme (1974) de Dino Risi

Titre original : « Profumo di donna »

Parfum de femme (Profumo di donna)Un irascible capitaine en retraite, resté aveugle à la suite d’une explosion, décide d’aller à Naples retrouver un ami ; il se fait accompagner dans ce voyage par un jeune soldat en permission, mais il ne veut aucune pitié, ne supporte aucun désagrément, se montre souvent agressif pour cacher son amertume…
Fait inhabituel dans la filmographie de Dino Risi, Parfum de femme est adapté d’un roman (signé Giovanni Arpino). Le cinéaste en a écrit l’adaptation avec Ruggero Maccari, excellent scénariste avec lequel il a déjà collaboré à plusieurs reprises (Le Fanfaron, La Marche sur Rome, Les Monstres) et qui écrira ensuite beaucoup pour Ettore Scola. Il s’agit d’une histoire très forte sur la confrontation de deux personnalités à des points totalement opposés de leur parcours : l’un pense n’avoir plus rien à attendre de la vie alors que l’autre la découvre à peine. Cette confrontation de deux tempéraments opposés n’est pas sans rappeler Le Fanfaron. Le film est marqué par la formidable prestation de Vittorio Gassman, en homme désabusé qui aime se montrer cynique, mais aussi jouisseur, capable de déceler la présence des femmes grâce à leur parfum. C’est probablement l’un de ses rôles les plus complexes (et il en a beaucoup à son actif). Le film n’est pas sans défaut : cette histoire puissante aurait mérité une meilleure photographie et une utilisation de la musique plus subtile.
Elle:
Lui : 4 étoiles

Acteurs: Vittorio Gassman, Alessandro Momo, Agostina Belli
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Remarque :
* Alessandro Momo a trouvé la mort peu après la fin du tournage dans un accident de moto qu’il était trop jeune pour conduire. Il était âgé de 17 ans. Il avait été remarqué l’année précédente aux côtés de Laura Antonelli dans Malizia de Salvatore Samperi (1973).

Parfum de femme (Profumo di donna)Alessandro Momo et Vittorio Gassman dans Parfum de femme (Profumo di donna) de Dino Risi.

Parfum de femme (Profumo di donna)Agostina Belli et Alessandro Momo dans Parfum de femme (Profumo di donna) de Dino Risi.

5 août 2021

Au pays de la peur (1952) de Andrew Marton

Titre original : « The Wild North »

Au pays de la peur (The Wild North)Dans les montagnes enneigées du nord-ouest du Canada, Jules Vincent est un solide trappeur qui sait affronter seul les dangers du Grand-Nord et qui tient à sa liberté. Après avoir malencontreusement tué un homme, il est traqué par le constable Pedley qui le retrouve mais le plus dur est de la ramener à la ville car l’hiver est là…
The Wild North (on peut oublier le titre français un peu idiot qui induit le spectateur en erreur…) est réalisé par Andrew Marton, réalisateur qui s’est souvent fait remarquer comme réalisateur de seconde équipe (second unit director) pour les scènes d’action. Le scénario est signé par un certain Frank Fenton. L’histoire s’inspire d’un périple effectué par l’officier Albert Pedley de la Canadian North West Mounted Police en 1904. Malgré une certaine lourdeur, le récit parvient à être assez prenant. Les scènes de neige sont plutôt convaincantes même si certaines respirent le studio. Stewart Granger a adopté un épouvantable accent français. Son jeu, bien trop appuyé, contribue à rendre son personnage antipathique ; il est en effet assez cruel. Cyd Charisse, en amérindienne, n’a qu’un petit rôle mais il est plutôt étonnant. Le film utilise un nouveau procédé de couleurs : l’Anscocolor, mis au point par la société Ansco, filiale d’Agfa avant la guerre. Son principal avantage était de pouvoir être utilisé dans les caméras noir et blanc classiques. Le procédé sera utilisé pendant la décennie des années cinquante, principalement par la MGM.
Elle:
Lui : 3 étoiles

Acteurs: Stewart Granger, Wendell Corey, Cyd Charisse
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Au pays de la peur (The Wild North)Stewart Granger dans Au pays de la peur (The Wild North) de Andrew Marton.

Au pays de la peur (The Wild North)Wendell Corey et Cyd Charisse dans Au pays de la peur (The Wild North) de Andrew Marton.

4 août 2021

Une vie violente (2017) de Thierry de Peretti

Une Vie ViolenteMalgré la menace de mort qui pèse sur sa tête, Stéphane décide de retourner en Corse pour assister à l’enterrement de Christophe, son ami d’enfance et compagnon de lutte, assassiné la veille. C’est l’occasion pour lui de se rappeler les évènements qui l’ont vu passer, petit bourgeois cultivé de Bastia, de la délinquance au radicalisme politique et du radicalisme politique à la clandestinité…
Une vie violente est réalisé par Thierry de Peretti, cinéaste corse. Le film est librement inspiré de l’histoire de Nicolas Montigny, jeune militant nationaliste corse de Armata Corsa assassiné à Bastia en 2001. Hormis quelques lignes rapides au tout début du film, le cinéaste n’explique rien. Le récit est donc assez obscur, on ne comprend pas bien qui sont les personnages et encore moins leurs motivations. Les discussions dérapent sans que l’on comprenne pourquoi et, lors des réunions, on est rapidement perdu. Pour comprendre pourquoi ces nationalistes se tuent entre eux, il est nécessaire d’aller lire l’article Wikipédia sur Armata Corsa. Confus sur le fond, le film de Thierry de Peretti est plus remarquable dans sa forme, donnant souvent l’impression de se trouver au beau milieu des personnages. Le cinéaste a trouvé un équilibre subtil entre fiction et documentaire. Les acteurs, tous corses, sonnent tous très juste.
Elle: 3 étoiles
Lui : 2 étoiles

Acteurs: Jean Michelangeli, Henri-Noël Tabary, Cédric Appietto, Marie-Pierre Nouveau
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Une Vie ViolenteUne vie violente de Thierry de Peretti.

Homonyme :
Une vie violente (Una Vita violenta) de Paolo Heusch et Brunello Rondi (1962) d’après un roman de Pier Paolo Pasolini.

3 août 2021

Le destin est au tournant (1954) de Richard Quine

Titre original : « Drive a Crooked Road »

Le Destin est au tournant (Drive a Crooked Road)Mécanicien et pilote automobile cantonné aux courses locales, Eddie Shannon est timide avec les femmes du fait de sa petite taille. Lorsqu’il rencontre la belle Barbara, il ne se doute pas qu’il va mettre un doigt dans l’engrenage du crime…
Drive a Crooked Road est réalisé par Richard Quine qui en a coécrit le scénario avec Blake Edwards, alors au début de sa carrière. L’histoire est celle d’un film noir mais, visuellement parlant, le film ne correspond pas aux codes du genre : point d’éclairages travaillés, tout se déroule en plein jour, et la tentatrice est une jeune femme très simple. Mickey Rooney est au centre du film, il est de tous les plans ; il fait une très belle interprétation, assez complexe, démontrant une fois de plus l’étendue de son talent (souvent sous-estimé). Son personnage attire la sympathie tout comme celui de Dianne Foster, malgré son double jeu. Film à petit budget,  Drive a Crooked Road n’est jamais sorti en France et il aura fallu attendre 2020 pour le voir en DVD.
Elle:
Lui : 3 étoiles

Acteurs: Mickey Rooney, Dianne Foster, Kevin McCarthy, Jack Kelly
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Le Destin est au tournant (Drive a Crooked Road)Dianne Foster et Mickey Rooney dans Le Destin est au tournant (Drive a Crooked Road) de Richard Quine.

Le Destin est au tournant (Drive a Crooked Road)Kevin McCarthy, Jack Kelly et Mickey Rooney dans Le Destin est au tournant (Drive a Crooked Road) de Richard Quine.

2 août 2021

Lux Æterna (2019) de Gaspar Noé

Lux ÆternaCharlotte Gainsbourg accepte de jouer une sorcière jetée au bûcher dans le premier film réalisé par Beatrice Dalle. Les deux actrices discutent entre elles avant de se rendre sur le plateau pour tourner la fameuse scène. Si la réalisatrice et l’actrice s’entendent bien, les relations avec l’équipe du film sont explosives, ce qui rend la préparation de la scène particulièrement chaotique…
Lux Æterna est un moyen métrage français écrit et réalisé par Gaspar Noé, cinéaste argentin vivant en France. Il s’agit d’un film commandé par la maison de haute couture Saint Laurent qui a financé le film (1). Après une longue improvisation des deux actrices qui discutent entre elles pour évoquer des souvenirs (enfin c’est surtout Béatrice Dalle qui parle, Charlotte Gainsbourg n’est visiblement pas à son aise et n’arrête pas de boire), on passe dans les coulisses pour assister à des engueulades continuelles avec les membres de l’équipe. Finalement, le tournage se fait péniblement et se termine dans un chaos stroboscopique qui dure près de 15 minutes. Gaspar Noé continue sur sa lancée de réaliser des films qui secouent les spectateurs, dont la vision est une véritable épreuve… La critique a réservé un bon accueil au film.
Elle:
Lui : 1 étoile

Acteurs: Béatrice Dalle, Charlotte Gainsbourg
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(1) La maison de haute couture Saint Laurent a posé comme conditions la participation au film de « visages » de la marque et l’utilisation de vêtements issus des dernières collections.

Lux ÆternaBéatrice Dalle et Charlotte Gainsbourg et Abbey Lee dans Lux Æterna de Gaspar Noé
(qui se distingue par une large utilisation des diptyques et des triptyques).

1 août 2021

Yves (2019) de Benoît Forgeard

YvesJérem, un rappeur, s’installe chez sa grand-mère pour y enregistrer un album. Il fait la connaissance de So, enquêtrice pour le compte de la start-up Digital Cool. Elle le convainc de prendre à l’essai « Yves », un réfrigérateur connecté et intelligent, censé lui simplifier la vie…
Yves est un film français écrit et réalisé par Benoît Forgeard, son troisième long métrage. L’idée de départ n’est pas très originale et, de plus, correspond à une vision aujourd’hui un peu vieillotte (car peu réaliste ou, du moins, bien trop lointaine) de l’intelligence artificielle : l’intelligence artificielle omnisciente. L’originalité est toutefois de prendre un rappeur peu inspiré comme personnage principal. Cela donne quelques trouvailles amusantes, tel ce concours eurovision un poil particulier. Hélas, les moments d’humour absurde réussis sont peu nombreux, le plus souvent, on a l’impression de redites et d’étirements en longueur. William Lebghil et Doria Tillier font, heureusement, une bonne prestation. Le film a bénéficié d’un assez bon accueil critique.
Elle:
Lui : 2 étoiles

Acteurs: William Lebghil, Doria Tillier, Philippe Katerine, Antoine Gouy
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YvesWilliam Lebghil parle à son frigo dans Yves de Benoît Forgeard.

31 juillet 2021

Sommaire de juillet 2021

Roubaix, une lumièreLe Dernier TémoinPremiers pas dans la MafiaLes EnvoûtésThe LunchboxWet SeasonMeurtres en cascadeBenni

Roubaix, une lumière

(2019) de Arnaud Desplechin

Le Dernier Témoin

(1960) de Wolfgang Staudte

Premiers pas dans la Mafia

(1990) de Andrew Bergman

Les Envoûtés

(2019) de Pascal Bonitzer

The Lunchbox

(2013) de Ritesh Batra

Wet Season

(2019) de Anthony Chen

Meurtres en cascade

(1979) de Jonathan Demme

Benni

(2019) de Nora Fingscheidt

Hotel by the RiverDans un jardin qu’on dirait éternelLet Them All TalkMaternalLa Croisière meurtrièreLe Portrait de Dorian GrayViendra le feuMonos

Hotel by the River

(2018) de Hong Sang-soo

Dans un jardin qu’on dirait éternel

(2018) de Tatsushi Ohmori

Let Them All Talk

(2020) de Steven Soderbergh

Maternal

(2019) de Maura Delpero

La Croisière meurtrière

(1940) de Eugene Forde

Le Portrait de Dorian Gray

(1945) de Albert Lewin

Viendra le feu

(2019) de Oliver Laxe

Monos

(2019) de Alejandro Landes

Shakespeare WallahDes enfants gâtésManchester by the SeaMidwayLa ConquêteHana-bi – feux d’artificeLes Coeurs vertsBienvenue à Marwen

Shakespeare Wallah

(1965) de James Ivory

Des enfants gâtés

(1977) de Bertrand Tavernier

Manchester by the Sea

(2016) de Kenneth Lonergan

Midway

(2019) de Roland Emmerich

La Conquête

(2011) de Xavier Durringer

Hana-bi – feux d’artifice

(1997) de Takeshi Kitano

Les Coeurs verts

(1966) de Édouard Luntz

Bienvenue à Marwen

(2018) de Robert Zemeckis

L’Homme de l’ArizonaLa Mule

L’Homme de l’Arizona

(1957) de Budd Boetticher

La Mule

(2018) de Clint Eastwood

Nombre de films présentés : 26