Titre original : « Confessions of a Dangerous Mind »
Elle :
Pour son premier film, George Clooney entreprend de nous narrer sur le ton de la comédie mêlée de drame la biographie d’un animateur de télé poubelle des années 70. On connaît l’admiration de Clooney pour les cinéastes indépendants américains. Mais hélas, sur ce sujet éculé, il tente en vain de jouer à Steven Soderbergh. Il abuse d’effets visuels plus ou moins réussis, cherche à tout prix à être original dans la forme au détriment du fond. On finit par se lasser au bout de 30 minutes et les déboires de ce Chuck Barris antipathique me laissent parfaitement indifférente. On te préfère en acteur, George, et pas trop souvent.
Note :
Lui :
L’histoire de Confessions d’un homme dangereux est assez extravagante et George Clooney, qui réalisait là son premier film, a choisi de la filmer de façon tout aussi extravagante : il multiplie les effets, les solarisations d’images, les cadrages exotiques, les transitions inattendues… mais tout cela semble beaucoup trop artificiel, donne l’impression de faire de l’original pour faire de l’original. L’histoire, avec tout cela, passe un peu au second plan, et l’on doit se forcer pour s’intéresser un peu à cette histoire d’animateur TV devenu tueur pour la CIA.
Note :
Acteurs: Sam Rockwell, Drew Barrymore
Voir la fiche du film et la filmographie de George Clooney sur le site IMDB.
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