28 juin 2008

Time Flies (1944) de Walter Forde

Time fliesElle :
(En bref) Un petit groupe de quatre personnes se retrouvent propulsé dans l’Angleterre du XVIe siècle après avoir accidentellement actionné une machine à remonter le temps. Je n’ai pas accroché du tout à ce film qui souffre d’un manque de moyens trop évident. L’humour qui est censé s’en dégager passe très mal.
Note : 1 étoile

Lui :
(En bref) Ce film anglais assez rare est une bonne surprise : cette histoire de voyage dans le temps est traitée de façon assez directe et avec beaucoup d’humour, une simplicité qui fait défaut à beaucoup de nos films de science fiction actuels. Ce serait le premier film à utiliser une machine à remonter le temps.
Note : 4 étoiles

Acteurs: Tommy Handley, Evelyn Dall, George Moon, Felix Aylmer
Voir la fiche du film et la filmographie de Walter Forde sur le site imdb.com.

27 juin 2008

Chercheuses d’or (1933) de Mervyn LeRoy

Titre original : « Gold Diggers of 1933 »

”ChercheusesElle :
(pas vu)

Lui :
Précisons d’emblée que Chercheuses d’Or n’a rien à voir avec la ruée vers l’or… Non, le terme Gold Digger désigne familièrement une aventurière. Trois jeunes femmes artistes de music-hall trouvent enfin du travail dans un nouveau show. Un concours de circonstances va les faire rencontrer des hommes de la haute société. Chercheuses d’Or s’inscrit dans la lignée de 42e Rue (où Mervyn LeRoy, malade, fut remplacé par Lloyd Bacon) c’est-à-dire de comédies musicales d’un nouveau genre : dans une Amérique ébranlée par la Grande Dépression, le public désirait voir des comédies avec un contenu plus ancré dans la réalité. Chercheuses d’Or n’est pas une comédie musicale à part entière (il n’y a que 4 numéros musicaux) mais plutôt une comédie avec les difficultés économiques de la Dépression en toile de fond. ”ChercheusesLe dernier numéro musical, « Remember my forgotten man » traite même sans équivoque et de manière très directe de la guerre et du chômage. Même si elle ne semble pas totalement aboutie, la satire sociale est aussi bien présente dans ce face à face entre haute et basse société. Mais l’ensemble reste (ou semble rester) dans une tonalité légère et libre, voire libertine : cet équilibre subtil est la grande réussite de Chercheuses d’Or qui est un film très facile et plaisant. Encore plus nettement que dans 42e Rue, Busby Berkeley montre son inventivité dans la chorégraphie des ballets, franchement époustouflants, s’inscrivant parmi les meilleurs du genre.
Note : 4 étoiles

Acteurs: Warren William, Joan Blondell, Aline MacMahon, Ruby Keeler, Dick Powell, Ginger Rogers
Voir la fiche du film et la filmographie de Mervyn LeRoy sur le site imdb.com.
Voir les autres films de Mervyn Leroy chroniqués sur ce blog…

Les 4 ballets musicaux de Chercheuses d’Or 1933 signés Busby Berkeley :
We’re in the money (chanté par Ginger Rogers) en ouverture, très beau jeu avec de grosses pièces d’or,
Pettin’ in the park, étonnamment audacieux et érotique (nous sommes juste avant la généralisation du Code Hays et de sa censure) avec une fantastique scène avec les ballons,
The Shadow Waltz, l’un des ballets les plus célèbres de Busby Berkeley, avec ses violons blancs lumineux, une merveille…
Remember my forgotten man, le plus sombre et réaliste mais aussi le plus puissant, parlant du chômage des soldats de retour de la Grande Guerre.

Du fait du grand succès du film, il y eut également :
Gold Diggers of 1935 par Busby Berkeley (1935)
Gold Diggers of 1937 de Lloyd Bacon et Buby Berkeley (1936)
Gold Diggers in Paris de Ray Enright (1938)
mais le Gold Diggers of 1933 reste le plus réussi et le plus marquant.

18 juin 2008

L’italien (2005) de Andrei Kravchuk

Titre original : « Italianetz »

L’ItalienElle :
Une découverte cinématographique bouleversante qui nous plonge avec vérité et sobriété au coeur de la misère russe avec ses enfants des rues abandonnés à leur sort et livrés aux appétits financiers des vendeurs d’enfants. Inspiré d’un fait divers, cette histoire met à jour les dérives de la société russe, sa pauvreté, sa corruption, ses abandons, sa décadence. Le jeune orphelin Vania, sur le point d’être adopté par une famille italienne, ne pense qu’a retrouver sa mère avec une ténacité et une intelligence incroyables. Le cinéaste fait monter progressivement l’intensité de ce destin émouvant avec un scénario bien construit, des acteurs convaincants et touchants, une ambiance sonore un peu dissonante et déstructurée. La mise en scène tout en effets de brume, de gris pastel et de neige délavée est superbe. La délicatesse de ces jeunes enfants perdus s’oppose à la violence de bandes de malfrats tout aussi abandonnés dans la vie. La caméra se pose avec une grande tendresse sur ces visages innocents et mélancoliques qui attendent résignés peu de choses de la vie.
Note : 5 étoiles

Lui :
Andrei Kravchuk parvient à trouver le bon équilibre et le ton juste pour raconter cette histoire d’un petit garçon russe abandonné qui veut retrouver sa vraie mère. En toile de fond, il montre le commerce qui se développe autour des adoptions en l’occurrence par un jeune couple italien (d’où le titre). Présenté ainsi, le film peut faire craindre un excès de misérabilisme mais il n’en est rien car le réalisateur a parfaitement su éviter les écueils de ce genre d’histoire : sa narration apparaît très authentique sans jamais verser dans le pathos. L’image est particulièrement belle et dépouillée de tout artifice tout comme la musique. Le jeune acteur principal est franchement étonnant par la puissance et le naturel qu’il dégage. L’italien est le second long métrage de ce réalisateur russe. Une belle réussite.
Note : 4 étoiles

Acteurs: Kolya Spiridonov, Mariya Kuznetsova, Nikolai Reutov, Yuri Itskov
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17 juin 2008

Cléo de 5 à 7 (1962) de Agnès Varda

Cléo de 5 à 7Elle :
Cléo de 5 à 7 nous plonge en nostalgie délicieuse dans le Paris très vivant du début des années 60. Agnès Varda filme en très grande liberté les rues, les gens et son personnage principal interprété par Corinne Marchand. Cette jeune femme chanteuse attend les résultats d’un examen médical avec grande anxiété. Cette attente insupportable va lui donner l’occasion de partir en quête d’elle-même pendant 1h30 dans les quartiers de Paris. Du terrible diagnostic d’une cartomancienne, Cléo ouvre petit à petit les yeux sur ce qu’est réellement la vie en dehors des apparences qu’il faut préserver dans son métier. Parmi ses rencontres, elle tombe sur un militaire qui lui tient un tout autre langage sur le sens de la vie. L’angoisse fait place à la sérénité pour la première fois. Un film émouvant en très beau noir et blanc.
Note : 5 étoiles

Lui :
Cléo est une jeune chanteuse qui attend les résultats de ses examens médicaux. Elle pense être atteinte d’une maladie grave. Cléo de 5 à 7 se déroule en temps réel sur presque deux heures (en réalité de 5h à 6h30) où Cléo va essayer de chercher du soutien dans son entourage. Ce faisant elle va mesurer la futilité de son existence mais trouvera quelque chose qu’elle n’attendait pas. Le film d’Agnès Varda est très teinté « nouvelle vague » avec ce pari audacieux de filmer de longues scènes de rues en plans-séquences qui nous replongent dans le Paris des années 60. Au-delà de cette prouesse technique de réussir à maîtriser ainsi le temps, Agnès Varda parvient à aborder des sujets graves avec une vitalité et un optimisme peu courants. Cléo de 5 à 7 est presque une vraie leçon de vie.
Note : 5 étoiles

Acteurs: Corinne Marchand, Antoine Bourseiller, Dominique Davray, Dorothée Blank, Michel Legrand
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La séquence « Les fiancés du Pont Mac Donald » est un mini-film dans le film dans lequel Agnès Varda fait jouer beaucoup de ses amis (non mentionnés au générique). Les « fiancés » sont Jean-Luc Godard et Anna Karina et on peut aussi y voir Sami Frey, Jean-Claude Brialy, Yves Robert, Eddie Constantine et Danièle Delorme.

Corinne Marchand dans Cléo de 5 à 7 (1962) de Agnès Varda

17 juin 2008

Céline (1992) de Jean-Claude Brisseau

CélineElle :
(En bref) Céline, jeune femme prête à se suicider, est recueillie par une infirmière qui lui apprend à se détendre. Je n’ai pas été vraiment convaincue par cette histoire qui mélange problèmes existentiels et visions surnaturelles.
Note : 2 étoiles

Lui :
(En bref) Après un démarrage qui nous laisse supposer une variation supplémentaire autour du mal de vivre, on se laisse gagner par l’atmosphère de ce film lorsqu’il prend soudain une dimension spirituelle qui permet d’élargir le champ du scénario. Au final, Céline se révèle agréable et même rafraîchissant.
Note : 4 étoiles

Acteurs: Isabelle Pasco, Lisa Heredia, Daniele Lebrun, María Luisa García
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16 juin 2008

Inland Empire (2006) de David Lynch

Inland EmpireElle :
Très mal à l’aise, j’ai abandonné à mi-parcours cette expérience vers l’irrationnel et cette plongée en abîme dans les tourments de Laura Dern. Le manque de fil conducteur et de construction apparente est ici vraiment déroutant, le scénario de ce film tourné en DV ayant été écrit au fur et à mesure du tournage. J’ai préféré de loin Mulholland Drive, beaucoup plus facile d’abord.
Note : pas d'étoiles

Lui :
Il ne faut surtout pas chercher de fil conducteur à Inland Empire ni d’explication dans le sens classique du terme. David Lynch a pour habitude de ne jamais parler du sens de ses films et cela fait habituellement partie de l’aura qui en émane. Inland Empire ne fait pas exception, loin de là… Le film se présente comme une série de divagations et de troubles qui traversent la tête d’une actrice tourmentée, un exercice de style pour David Lynch qui l’a entièrement tourné sans scénario écrit à l’avance et avec des moyens très légers (notamment une Sony PD-150, une simple caméra DV à 5000 €). Cette caméra lui donne une liberté énorme et il se laisse aller à expérimenter à loisir pour créer un climat assez lourd et oppressant dans lequel il faut accepter se laisser happer sans contrepartie. Très bien mais la question est de savoir si au final le film se révèle intéressant… Pour moi la réponse est franchement non. Le voyage que Lynch nous propose avec Inland Empire est long et passablement éprouvant ; je dois avouer m’être forcé pour rester jusqu’au bout. Je n’ai pas ressenti le besoin d’aller lire des tentatives d’interprétation du film comme cela avait été le cas pour Mulholland Drive. C’est une expérience qui va explorer certaines limites.
Note : 2 étoiles

Acteurs: Laura Dern, Jeremy Irons, Justin Theroux, Harry Dean Stanton
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15 juin 2008

My Blueberry Nights (2007) de Wong Kar-wai

My Blueberry NightsElle :
Dans ce premier film tourné exclusivement avec des acteurs américains, Wong Kar-wai se montre au sommet de son art puisqu’il parvient à fusionner l’esthétisme de son cinéma avec la trame émouvante de son scénario. On nage en plein éblouissement visuel, en totale volupté et mélancolie tandis que son personnage principal interprété par Norah Jones part en quête d’elle-même à travers l’Amérique suite à une rupture sentimentale. Ses rencontres lui révèlent des histoires plus fortes et tragiques que la sienne et lui font prendre conscience de sa véritable personnalité. Elles ont toutes lieu dans ces bars de nuit déserts aux éclairages diffus et colorés. Montage époustouflant, beaux éclairages, palette de teintes primaires subtiles, compositions élaborées, effets de flous et d’accélérés, jeux de reflets, de plans, de lettrages et de graphismes dans les vitrines et les rideaux pour montrer la solitude et l’enfermement. Wong Kar-wai contrairement à ses films précédents apporte une touche positive et une lueur d’espoir dans le destin de ses personnages. L’atmosphère et le scénario ont parfois des parfums de Wim Wenders et de David Lynch. La belle bande son de Ry Cooder, Cat Power et Norah Jones participe à cette ambiance envoûtante.
Note : 5 étoiles

Lui :
My Blueberry Nights est le premier film américain du réalisateur hongkongais Wong Kar-wai qui prend un certain risque en bâtissant tout son film autour de Norah Jones, que l’on connaît plus en tant que chanteuse qu’en tant qu’actrice… Comme pour beaucoup de ses autres films, Wong Kar-wai place plusieurs histoires dans My Blueberry Nights, quatre histoires que va traverser son héroïne qui sort elle-même d’une rupture douloureuse. L’ambiance générale du film nous rappelle celle des films de Wim Wenders. La plupart des scènes se situent la nuit dans un bar, le plus souvent en dialogue, à deux personnes donc : Wong Kar-wai parvient à nous mettre très près de ses personnages, avec peu d’interférences du monde environnant, une sorte d’intimité que l’on a plus coutume de trouver au théâtre qu’au cinéma. La patte de Wong Kar-wai se montre aussi beaucoup sur la forme, avec ses compositions d’image très étudiées et ses trouvailles visuelles que l’on peut trouver trop ostensibles si l’on en croit les commentaires (généralement assez mauvais) de la Critique. Les cinq acteurs principaux font une très belle prestation avec une mention pour Natalie Portman qui montre, une fois de plus, la multiformité de son talent.
Note : 5 étoiles

Acteurs: Norah Jones, Jude Law, Natalie Portman, David Strathairn, Rachel Weisz
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14 juin 2008

Casino Royale (2006) de Martin Campbell

”CasinoElle :
(pas vu)

Lui :
Nous sommes vraiment dans une époque qui aime casser les icônes. Donc fini le James Bond charmeur et plein de style qui mettait ses attaquants hors d’état de nuire sans se départir de son flegme britannique, le James Bond de Casino Royale est sec, impitoyable, court beaucoup (on ne comprend pas toujours après qui il court, mais il court vite), cogne dur et ne s’embarrasse pas de gadgets : il ne fait pas dans la dentelle et le macramé. Inévitable corollaire, l’ensemble est beaucoup plus violent, le générique donnant le ton en traçant des arabesques de sang. On peut d’ailleurs s’interroger sur cet étalage de violence dans une série qui était jusque là un divertissement ciblé grand public. Le scénario est assez confus et peu fourni, tout le film étant centré sur les scènes d’actions et une interminable partie de poker dont (je dois bien l’avouer) l’enjeu m’a quelque peu échappé. En voulant dépoussiérer le personnage, les producteurs de la série lui ont enlevé une grande partie de sa spécificité et Casino Royale n’est rien de plus qu’un film d’action comme un autre.
Note : 1 étoiles

Acteurs: Daniel Craig, Eva Green, Mads Mikkelsen, Judi Dench
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Il existait déjà un film intitulé Casino Royale, film parodique des aventures de James Bond, signé par 5 réalisateurs dont John Huston (1967).

13 juin 2008

Silent running (1971) de Douglas Trumbull

Titre canadien : « Et la terre survivra »

Silent runningElle :
(pas vu)

Lui :
Douglas Trumbull est l’un des créateurs des effets spéciaux de 2001, Odyssée de l’espace (on lui doit notamment les fantastiques effets psychédéliques du voyage supraluminique de la fin du film). Silent Running est pour lui l’occasion d’utiliser un certain nombre de techniques qu’il avait développées pour 2001 mais qui ne furent pas utilisées. Son film est toutefois bien plus que cela puisqu’il porte en lui une fable écologique assez forte et qui paraît tout aussi actuelle de nos jours. Nous sommes à bord d’un gigantesque vaisseau qui glisse dans l’espace à la façon de 2001… mais le dit-vaisseau porte de vastes plateaux où quelques chercheurs tentent de recréer les forêts qui ont été supprimées par l’homme de la surface de la Terre. La décision vient d’être prise de stopper l’expérience car pas assez rentable… Le propos de Silent Running s’inscrit donc tout à fait dans son époque, le tout début des années 70, mais a des résonances en notre troisième millénaire car il soulève des questions qui, si elles n’ont pas de dimension spirituelle comme 2001, n’en sont pas moins persistantes : pas d’Etre Supérieur, ni de robots qui se retourne contre l’homme dans Silent Running ; non, l’homme maîtrise la technique, les robots sont des gentils compagnons patauds et légèrement anthropoïdes (ils sont toutefois présentés comme porteurs d’avenir) mais celui qui peut causer sa perte est l’homme lui-même. En ce sens, il soulève des questions bien plus pragmatiques que 2001… De façon étonnante, l’humanité est surtout présente dans le film par la bande sonore : quelques très belles chansons de Joan Baez créent un contraste étonnant avec les images. Le budget fut très réduit (1) ce qui ne l’empêche pas de comporter quelques scènes visuellement efficaces à base de grandes maquettes. Le film n’eut hélas que très peu de succès à l’époque, il fallut même attendre 1975 pour qu’il sorte en France. A noter que l’un des co-scénariste est Michael Cimino.
Note : 4 eacute;toiles

Acteurs: Bruce Dern, Cliff Potts, Ron Rifkin, Jesse Vint
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Note : Le titre Et la terre survivra (notez l’absence de majuscule qui change le sens et traduit bien le propos du film) est au départ le titre canadien mais a aussi été quelquefois utilisé en France.

(1) Après le succès d’Easy Rider en 1969, Les Studios Universal décidèrent de lancer plusieurs projets de style cinéma indépendant avec un petit buget (1 million de dollars) : Silent Running est l’un d’entre eux, les autres étant : L’homme sans frontière de Peter Fonda (1971), The Last Movie de Denis Hopper (1971), Taking Off de Milos Forman (1971) and American Graffiti de Geoges Lucas (1973).

13 juin 2008

Le Maître des Eléphants (1995) de Patrick Grandperret

Le maître des éléphantsElle :
(En bref) Film très dépaysant avec un beau sujet sur la sauvegarde des éléphants. Les scènes avec les éléphants sont majestueuses ; il est dommage que les dialogues ne soient pas toujours compréhensibles et que le scénario soit un peu confus.
Note : 4 étoiles

Lui :
(En bref) L’immersion forcée d’un gamin français dans la civilisation africaine. Dépaysant et bien fait.
Note : 4 étoiles

Acteurs: Erwan Baynaud, Jacques Dutronc
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