11 juillet 2007

Animal Crackers, l’explorateur en folie (1930) de Victor Heerman

Titre original : Animal Crackers

Animal CrackersElle :
Il faut croire que je n’accroche plus à l’humour des Marx Brothers. La mise en scène me semble avoir vieilli et les dialogues manquent de naturel. (Abandon rapide)
Note : pas d'étoiles

Lui :
Dans ce deuxième film des Marx Brothers, l’histoire n’est qu’un prétexte à l’humour décapant des quatre frères. Les gags sont essentiellement dans les dialogues, les jeux de mots fusent et il faut suivre en anglais car les sous-titres ne leur rendent pas toujours justice. La scène de la lettre de Groucho à son avocat est vraiment mémorable… Visuellement, les gags sont moins nombreux mais il y a Harpo, bien entendu, avec son célèbre gag de la jambe. Ce n’est pas le meilleur des Marx Brothers mais on sent le style qui s’affirme peu à peu.
Note : 4 étoiles

Acteurs: Groucho Marx, Harpo Marx, Chico Marx, Zeppo Marx, Lillian Roth, Margaret Dumont
Voir la fiche du film et la filmographie de Victor Heerman sur le site imdb.com.

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21 mai 2007

Pacific Express (1939) de Cecil B. DeMille

Titre original : Union Pacific

Pacific Express Elle :
Fresque historique à grand spectacle sur le chantier titanesque de la construction de la ligne de chemin de fer américaine. Cecil B. DeMille retrace cette épopée avec bon nombre de figurants, de cascades et d’effets spectaculaires et c’est avec intérêt que l’on voit cet exploit se réaliser. Néanmoins, l’histoire d’amour impossible entre Barbara Stanwyck et ses deux prétendants souffre de longueurs et de cohérence et finit par lasser.
Note : 3 étoiles

Lui :
Pacific Express La construction de la première ligne de chemin de fer traversant les Etats-Unis n’est pas traitée par Cecil B. DeMille uniquement comme une grande épopée : dans Pacific Express, l’accent est surtout mis sur un trio de personnages bien typés (un bon, un méchant et une femme entre les deux), ce qui engendre quelques longueurs. Il reste de bonnes scènes plus descriptives, comme la construction de la ligne (images faites avec de vrais poseurs de rail) ou le montage/démontage de la ville qui suit le chantier au cours de son avancement. Ces scènes sont hélas trop rares.
Note : 3 étoiles

Acteurs: Barbara Stanwyck, Joel McCrea, Akim Tamiroff
Voir la fiche du film et la filmographie de Cecil B. DeMille sur le site imdb.com.

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14 mai 2007

L’énigmatique Monsieur Moto (1937) de Norman Foster

Titre original : « Think fast, Mr Moto »

L'énigmatique M. MotoElle :
(pas vu)

Lui :
Réalisé par la Fox pour tenter de dupliquer le succès de la série des Charlie Chan, cet Enigmatique Monsieur Moto est le premier d’une série de 8 films mettant en scène un enquêteur japonais interprété par Peter Lorre. Cet élégant personnage est un homme étonnant et plein de ressources, que ce soit dans l’art du combat jiu-jitsu ou dans l’art de la déduction. Le climat est oriental à souhait, l’occasion de faire intervenir nombre de personnages jouant double-jeu. Cette série fut interrompue par l’approche de la guerre comme tout ce qui pouvait montrer les japonais sous un jour positif. Peter Lorre est vraiment parfaitement crédible dans ce rôle qui semble taillé pour lui. Considéré comme le meilleur de la série, L’énigmatique Monsieur Moto se regarde encore aujourd’hui avec plaisir car il a su conserver son atmosphère délicatement envoûtante même s’il peut paraître n’être que gentiment désuet.
Note : 4 étoiles

Acteurs: Peter Lorre, Virginia Field, Thomas Beck
Voir la fiche du film et la filmographie de Norman Foster sur le site imdb.com.

Série des 8 films Monsieur Moto :
1. Think fast, Mr Moto (L’énigmatique M. Moto) (1937) de Norman Foster
2. Thank you, Mr Moto (Le serment de M. Moto) (1937) de Norman Foster
3. Mr Moto’s gamble (M. Moto sur le ring) (1938) de James Tinling
4. Mr Moto takes a chance (M. Moto sourt sa chance) (1938) de Norman Foster
5. Mysterious Mr Moto (M. Moto dans les bas-fonds) (1938) de Norman Foster
6. Mr Moto’s last warning (1939) de Norman Foster
7. Mr Moto in Danger Island (1939) de Herbert I. Leeds
8. Mr Moto takes a vacation (1939) de Norman Foster

Une tentative de résurrection :
The return of Mr Moto (1965) de Ernest Morris

13 mai 2007

Charlie Chan in Egypt (1935) de Louis King

Charlie Chan in EgyptElle :
Bien que le début du film soit maladroit et conventionnel, on se laisse gagner peu à peu par cette intrigue policière dont le point de départ est la disparition d’un archéologue au coeur des tombeaux égyptiens. Il faut noter la présence de Rita Hayworth dans un de ses tous premiers rôles. L’histoire est prenante et plutôt complexe.
Note : 3 étoiles

Lui :
Charlie Chan in Egypt Charlie Chan enquête sur des disparitions et des meurtres dans le cadre de fouilles archéologiques en Egypte. Le scénario est très bien ficelé, l’intrigue étant forte en rebondissements et en trouvailles originales. L’ensemble est assez léger, même assez amusant du fait du comportement maniéré et déférent de Charlie Chan.
Note : 4 étoiles

Acteurs: Warner Oland, Pat Paterson, Thomas Beck, Rita Hayworth
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Voir aussi les commentaires sur Charlie Chan at the opera

Charlie Chan est un détective américain d’origine chinoise créé par l’écrivain/scénariste Earl Derr Biggers. Ses enquêtes firent l’objet d’une petite cinquantaine de films  produits par la Fox puis par Monogram. Son personnage rencontra un vif succès grâce à son côté oriental, son humour et ses facéties… sans oublier son inépuisable réserve de proverbes.

Charlie Chan fut interprété par Warner Oland de 1931 à 1938 (16 films), Sidney Toler de 1938 à 1946 (22 films) et Roland Winters de 1947 à 1949 (6 films). Une résurrection fut tentée en 1981 avec Peter Ustinov.

Les trois premiers Charlie Chan :
The house without a key (1926) de Spencer Bennet (Pathé, film perdu)
The chinese parrot (1927) de Paul Leni (Universal, film perdu)
Behind that curtain (1929) de Irving Cummings avec E.L. Park (et Boris Karloff) (Fox)

Films interprétés par Warner Oland (20th Century Fox)
The black camel (1931) de Hamilton MacFadden
Charlie Chan carries on (1931) de Hamilton MacFadden
Charlie Chan’s chance (1932) de John Blystone (film perdu)
Charlie Chan’s greatest case (1933) de Hamilton MacFadden (film perdu)
Charlie Chan’s courage (1934) de Eugene Forde et George Hadden
Charlie Chan in London (1934) de Eugene Forde
Charlie Chan in Paris (1935) de Lewis Seiler
Charlie Chan in Egypt (1935) de Louis King
Charlie Chan in Shanghai (1935) de James Tinling
Charlie Chan’s secret (1936) de Gordon Wiles
Charlie Chan at the circus (1936) de Harry Lachman
Charlie Chan at the race track (1936) de H. Bruce Humberstone
Charlie Chan at the opera (1936) de H. Bruce Humberstone
Charlie Chan at the olympics (1937) de H. Bruce Humberstone
Charlie Chan on Broadway (1937) de Eugene Forde
Charlie Chan at Monte Carlo (1938) de Eugene Forde

Films interprétés par Sidney Toler 
(20th Century Fox jusqu’en 1942, ensuite Monogram)
Charlie Chan in Honolulu (1938) de H. Bruce Humberstone
Charlie Chan in Reno (1939) de Norman Foster
Charlie Chan at Treasure Island (1939)  de Norman Foster
Charlie Chan in city in darkness (1939) de Herbert I. Leeds
Charlie Chan’s murder cruise (1940) de Eugene Forde
Charlie Chan at the Wax Museum (1940) de Lynn Shores
Charlie Chan in Panama (1940)  de Norman Foster
Murder over New York (1940) de Harry Lachman
Dead men tell (1941) de Harry Lachman
Charlie Chan in Rio (1941) de Harry Lachman
Castle in the desert (1942) de Harry Lachman
Charlie Chan in the Secret Service (1944) de Phil Rosen
Charlie Chan in The chinese cat (1944) de Phil Rosen
Black Magic (Meeting at midnight) (1944) dePhil Rosen
The Red Dragon (1945) de Phil Rosen
The scarlet clue (1945) de Phil Rosen
The jade mask (1945) de Phil Rosen
The Shanghai cobra (1945) de Phil Karlson
Shadows over Chinatown (1946) de Terry O. Morse
Dangerous money (1946)  de Terry O. Morse
Dark alibi (1946) de Phil Karlson
The trap (Murder at Malibu Beach) (1946) de Howard Bretherton

Films interprétés par Roland Winters (Monogram)
The chinese ring (1947) de William Beaudine
Docks of New Orleans (1948) de Derwin Abrahams
Shanghai chest (1948) de William Beaudine
The golden eye (1948) de William Beaudine
The feathered serpent (1948) de William Beaudine
The sky dragon (1949) de Lesley Selander

Film interprété par Peter Ustinov 
Charlie Chan and the Curse of the Dragon Queen (1981) de Clive Donner

13 mai 2007

Charlie Chan at the Opera (1936) de H. Bruce Humberstone

Charlie Chan at the operaElle :
Enquête policière à l’intérieur d’un opéra. Boris Karloff interprète un chanteur fou qui revient rôder dans les entrailles de cet édifice.
Note : 3 étoiles

Lui :
Charlie Chan à l'opéra C’est avec plaisir que j’ai regardé ce film, considéré comme l’un des meilleurs de la série Charlie Chan. La qualité de l’intrigue n’y est certes pas pour rien. Warner Oland incarne à merveille ce détective original, aux méthodes si particulières (sorte de Colombo avant l’heure). Ses tournures orientales et sa manière de parler sont toujours un régal : il semble avoir une réserve inépuisable de proverbes… Boris Karloff fait une apparition remarquable dans cette histoire de double-meurtre.
Note : 4 étoiles

Acteurs: Warner Oland, Boris Karloff, Keye Luke, William Demarest
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Voir aussi les commentaires sur Charlie Chan in Egypt

5 mai 2007

Drôle de drame (1936) de Marcel Carné

Drole de drameElle :
(pas revu)

Lui :
Drôle de Drame est l’un de ces joyaux impérissables du cinéma. C’est un film complet qui se présente presque comme un bouillonnement d’éléments totalement disparates qui s’assemblent merveilleusement grâce au génie de Marcel Carné et de Jacques Prévert. Adapté d’un roman policier anglais, c’est un invraisemblable scénario, plein de rebondissements qui ne laissent aucun temps mort. Et Carné a réuni un ensemble de fabuleux acteurs sur son plateau avec en première ligne ce fameux face à face, haut en couleur,  entre Michel Simon et Louis Jouvet. Les dialogues de Prévert sont savoureux, un vrai délice ; tout le monde connaît la célèbre réplique « bizarre, bizarre… ». A la fois film policier, film comique, film de société, loufoque et corrosif, Drôle de Drame dérouta le public à sa sortie en 1937 :  la critique fut unanime pour le descendre et les spectateurs arrachaient les sièges de cinéma pour manifester leur mécontentement…! Ce n’est que 15 ans plus tard qu’il fut reconnu à sa juste valeur, c’est à dire comme l’un des chefs d’oeuvre du cinéma français, un sommet d’inventivité, de créativité… Un film parfait.
Note : 5 étoiles

Acteurs: Louis Jouvet, Françoise Rosay, Michel Simon, Jean-Pierre Aumont, Jean-Louis Barrault, Nadine Vogel, Pierre Alcover, Henri Guisol
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Lire une critique plus complète de Drôle de Drame

26 avril 2007

Freaks, la monstrueuse parade (1932) de Tod Browning

Titre original : « Freaks »

Freaks, la monstrueuse paradeElle :
pas (re)vu

Lui :
Largement méconnu dans un premier temps, Freaks de Tod Browning a acquis le statut de film culte au cours du temps. Ce n’est que justice tant il paraît unique dans l’histoire du cinéma. Le classer parmi les films d’horreur est d’ailleurs assez réducteur car sa portée est tout autre. La trame du film se place dans le microcosme d’un petit cirque. Le tour de force de Freaks est de parvenir à mettre en scène un ensemble de personnages couramment considérés comme des monstres, depuis la femme à barbe jusqu’à l’homme-tronc, sans aucun misérabilisme ni complaisance dans l’exhibitionnisme. Non, Tod Browning les intègre le plus naturellement du monde dans une histoire d’où il ressort que les monstres ne sont pas ceux que l’on croit, les vrais monstres sont des personnages d’une apparence plus normale mais particulièrement vils et méprisables. Freaks, la monstrueuse parade Il ne faut pas craindre d’ailleurs de regarder le film, la vision n’est pas particulièrement dure car tous ces personnages semblent parfaitement assumer leur particularité physique et plutôt heureux de vivre. Cela montre bien que c’est aussi dans notre tête que cela se passe. C’est un film extraordinairement puissant, un grand film humaniste, un tour de force cinématographique.
Note : 5 étoiles

Acteurs: Wallace Ford, Leila Hyams, Olga Baclanova, Henry Victor
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Pour la petite histoire : à l’époque, la MGM cherchait à battre sur son terrain Frankenstein qu’Universal venait de sortir. Le producteur Irvin Thalberg fut cependant totalement dérouté par Freaks et, par exemple, la MGM ne sortit jamais le film en Angleterre. Originellement, le film faisait 90 minutes. De nombreuses coupes ramenèrent cette durée à 64 minutes.

19 avril 2007

King Kong (1933) de Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack

King KongElle :
Même 80 ans plus tard, ce film est toujours aussi fascinant. Un chef d’œuvre d’inventivité, d’imaginaire, d’animation, d’incrustations, réalisé avec des moyens finalement assez rudimentaires comparés à ceux de l’époque actuelle. Que ce soit King Kong ou les animaux préhistoriques, les animations sont toujours aussi impressionnantes face aux minuscules êtres humains qui s’agitent. Cette façon de les opposer dans de très beaux décors de jungle ou dans New York est très efficace. Le scénario est également très bien construit. Sans séquence inutile, il va à l’essentiel sans tomber dans la facilité pour donner davantage de force à l’histoire et à cette étrange relation que King Kong éprouve pour la jeune femme. Cadrages, éclairages et montage sont particulièrement travaillés pour donner du dynamisme, de l’angoisse et du suspense. Du vrai cinéma comme on n’en voit plus. Un film à voir absolument.
Note : 5 étoiles

Lui :
Basé sur une idée de Merian C. Cooper, l’un des deux réalisateurs, le thème de King Kong fait partie des 2 ou 3 plus grands mythes que le cinéma a pu créer au cours de son histoire. Formidable adaptation du thème de la Belle et la Bête, le film porte un subtil dosage de différents ingrédients pour décupler son impact sur les spectateurs : l’aventure, l’exotisme, le rêve, l’érotisme, le fantastique… Il est assez étonnant de voir comment ces ingrédients continuent de fonctionner 75 ans après sa sortie, il suffit juste de faire abstraction de ce qui nous parait maintenant comme des imperfections mais qui, à l’époque, représentait une prouesse technique hors du commun. Le budget de King Kong fut effectivement important permettant ainsi d’utiliser l’animation image par image de modèles réduits et toutes les techniques imaginables de superposition et de transparence. Suivant les scènes, les réalisateurs utilisèrent un King Kong de différentes tailles, le plus grand mesurant soixante dix mètres. Le film fut généralement plutôt méprisé par les cinéphiles, c’est pourtant un bel exemple de cinéma populaire dans toute sa splendeur. Avec le recul et par rapport à ses homologues actuels, il apparaît surtout parfaitement dosé.
Note : 5 étoiles

Acteurs: Fay Wray, Robert Armstrong, Bruce Cabot
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Ernest B. Schoedsack tourna une suite Le fils de King Kong (The son of Kong)(1934), avec toujours de beaux effets spéciaux d’animation mais une histoire peu réussie, puis un essai plutôt raté de re-création d’un personnage similaire avec Mighty Joe Young.

John Guillermin se risqua à un remake avec King Kong (1976) avec Jessica Lange et Jeff Bridges suivi de King Kong 2 (King Kong lives) (1986), deux films que je trouve personnellement peu convaincants. Enfin, Peter Jackson réalisa un long remake King Kong en 2005.
Lire nos commentaires

3 avril 2007

Les 3 lanciers du Bengale (1935) de Henry Hathaway

Titre original : The lives of a Bengal lancer

Les 3 lanciers du BengaleElle :
Ce film qui se situe en Inde au temps des colons anglais nous emmène en plein désert aux frontières de l’Afghanistan. Les Anglais s’opposent aux musulmans afghans. Les paysages sont impressionnants et les figurants nombreux. Gary Cooper qui incarne un lieutenant protégeant le fils du colonel, est trépidant et veut contourner les réglements sévères qui régissent la vie militaire au mépris de tout sentiment humain. Cette vision quelque peu idyllique finit par l’emporter.
Note : 4 étoiles

Lui :
Voici un film d’aventures et de guerre, qui met en avant les grandes valeurs humaines. Le spectacle est grandiose pour l’époque et Gary Cooper est vibrant de puissance et de sincérité. Cependant, j’ai trouvé que le film avait plutôt vieilli, sans doute à cause de la simplicité du scénario. Ce film se trouve être incidemment être d’actualité, du fait des évènements de ces dernières années en Afghanistan.
Note : 3 étoiles

Acteurs: Gary Cooper, Franchot Tone, Richard Cromwell
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30 mars 2007

Sylvia Scarlett (1935) de George Cukor

Sylvia ScarlettElle :
Le jeu de Katharine Hepburn m’est apparu trop forcé et ses nombreux dialogues en français (elle se déguise en garçon français) sont assez insupportables. (Abandon)
Note : pas d'étoiles

Lui :
Ce film de George Cukor est bien décevant car mis à part l’extraordinaire performance de Katharine Hepburn qui se déguise en garçon, il a beaucoup vieilli, tant au niveau du scénario que de la copie (très mauvais son). Cary Grant est assez fade, presque absent.
Note : 1 étoiles

Acteurs: Katharine Hepburn, Cary Grant, Brian Aherne, Edmund Gwenn
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