Titre original : « El olvido que seremos »
En 1983, Héctor Joaquim, fils du Dr Héctor Abad, revient à Medellín (Colombie) depuis Turin où il a fait ses études. Il revoit sa vie heureuse de petit garçon avec ce père qu’il vénère, sa mère et ses cinq sœurs. Héctor Abad est médecin et il enseigne à l’université. Il contribue également à des projets sociaux dans les quartiers misérables de la ville, cherchant à promouvoir la vaccination…
L’oubli que nous serons est un film colombien réalisé par l’espagnol Fernando Trueba. C’est l’adaptation du roman homonyme qu’Héctor Abad Faciolince a écrit sur son père, Héctor Abad Gómez, professeur de médecine et professeur d’université, défenseur des droits de l’homme en Colombie dans les années 1970 et 1980. Le récit accorde la plus grande place à la vie de famille ce qui permet de dresser un portrait de l’homme et de ses engagements. C’est un récit vif et assez joyeux, mais aussi assez touchant dans la relation père-fils. Javier Cámara fait une belle interprétation qui n’est pas dénuée de douceur.
Elle:
Lui :
Acteurs: Javier Cámara, Nicolás Reyes Cano, Juan Pablo Urrego, Patricia Tamayo
Voir la fiche du film et la filmographie de Fernando Trueba sur le site IMDB.
Voir la fiche du film sur AlloCiné.
Remarque :
* Le titre est repris du premier vers d’un sonnet attribué à Jorge Luis Borges intitulé Aquí, hoy, trouvé dans l’une des poches d’Héctor Abad Gómez après l’assassinat.
Nicolás Reyes Cano et Javier Cámara dans L’oubli que nous serons (El olvido que seremos) de Fernando Trueba.
La famille au grand complet dans L’oubli que nous serons (El olvido que seremos) de Fernando Trueba.