Titre original : « Indiana Jones and the Dial of Destiny »
1944, Indiana Jones tente de récupérer la lance de Longinus (le légionnaire qui a blessé Jésus pendant sa crucifixion) dont les nazis se sont emparés. Il embarque à bord d’un train chargé d’objets d’arts pillés… 25 ans plus tard, en 1969, Indiana Jones s’apprête à prendre sa retraite de professeur d’archéologie. Mais tout va basculer avec l’irruption de la fille d’un de ses anciens collègues…
Indiana Jones et le Cadran de la destinée est un film d’aventures américain réalisé par James Mangold. Il s’agit du cinquième et (très probablement) ultime volet de la saga cinématographique Indiana Jones. S’il ne réalise pas, Steven Spielberg reste producteur avec George Lucas. L’esprit est parfaitement respecté, on retrouve le même dosage d’aventures fantastiques à la Tintin avec un humour constant et une pointe de dérision. Les scènes d’action sont spectaculaires mais sans excès ou effets inutiles. La longue (et mouvementée) séquence d’ouverture montre un Harrison Ford rajeuni par informatique. Mais la scène la plus étonnante se trouve vers la fin. Contrairement à d’autres sagas, ce nouveau volet est largement à la hauteur des précédents. Une merveille. J’avoue ne pas comprendre pourquoi critique et public lui ont réservé un accueil mitigé.
Elle: –
Lui :
Acteurs: Harrison Ford, Phoebe Waller-Bridge, Mads Mikkelsen, Antonio Banderas, Karen Allen, John Rhys-Davies, Ethann Isidore
Voir la fiche du film et la filmographie de James Mangold sur le site IMDB.
Voir la fiche du film sur AlloCiné.
Voir les autres films de James Mangold chroniqués sur ce blog…
La saga Indiana Jones (réalisés par Steven Spielberg à l’exception du dernier) :
1) Les aventuriers de l’arche perdue (Raiders of the lost ark) (1981)
2) Indiana Jones et le temple maudit (Indiana Jones and the temple of doom) (1984)
3) Indiana Jones et la dernière croisade (Indiana Jones and the last crusade) (1989)
4) Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal (Indiana Jones and the kingdom of the crystal skull) (2008)
5) Indiana Jones et le Cadran de destinée (Indiana Jones and the Dial of Destiny) (2023) réalisé par James Mangold.
Je l’ai commencé sur Canal, après 20 minute j’avais trop mal aux yeux, aux oreilles et à la tête. J’ai renoncé. Quel ennui !
Je sais bien qu’avec Indiana Jones, il ne faut pas s’attendre à une histoire et à des scènes vraisemblables. Le 1er et le 3e film de la série sont des réussites: ils sont jubilatoires. Spielberg avait su, à l’époque, mettre en scène un héros intrépide dans des situations incroyables et ce, sans forcer le trait.
Ici, ce n’est point le cas. A trop forcer la dose, on risque l’overdose! Ce film m’a consterné tant les personnages sont caricaturaux (le personnage féminin est insupportable) et tant l’histoire est tirée par les cheveux. Et je passe sur les poursuites qui tombent dans la surenchère.
Un 5e opus dont je me serais bien passé!