28 mai 2005

Le divorce (2003) de James Ivory

Le divorce Elle :
Film artificiel et bourré de clichés sur la France, ses habitants et leurs moeurs. Une jeune américaine va à Paris pour rendre visite à sa sœur (Naomi Watts) qui vient de se faire plaquer par son mari. Il ne se passe rien ; on se retrouve entre « gens du beau monde » qui n’ont rien à dire. James Ivory est certainement plus fasciné par ses actrices que par son scénario.
Note : pas d'étoiles

Lui :
Le Divorce est une comédie parfaitement futile et molle, il est vraiment étonnant qu’un tel film soit signé James Ivory. Le choc des cultures se réduit à une interminable série de clichés sur les français et les américains, et surtout le scénario manque totalement d’intérêt. Ce ratage est d’autant plus dommage que la distribution était excellente avec bon nombre d’acteurs intéressants dans les seconds rôles.
Note : 1 étoiles

Acteurs: Kate Hudson, Naomi Watts, Thierry Lhermitte, Glenn Close, Leslie Caron, Sam Waterston
Voir la fiche du film et la filmographie de James Ivory sur le site IMDB.

Voir les autres films de James Ivory chroniqués sur ce blog…

Une réflexion sur « Le divorce (2003) de James Ivory »

  1. Je ne veux pas revenir sur la qualité du film. C’est rempli de clichés malgré une distribution extraordinaire. le regard de Woody Allen aurait ette beaucoup plus percuatant; Il aurait fu sortir un film de film. J’étais assitantde prod et c’était relativement fantasque. Je voudrais témoigner de la réalité d’un secteur où l’illélégalité était la règle. En depit d’une subvnetion du Consiel régional, l’équipe française technique ne fut pas déclarée. Par exemple la scripte a été déclarée une semaine de tournage sur 12. Tout le monde était payé au black. Suite au cambriolage des bureaux, double escroquerie aux assurances. Les fournisseurs étaient payés en retard. Je pourrais multiplier les exemples. Si le cinéma est un ^^eve, il est dommage que la réalité s’apparente au cuchemar. C’est pourquoi j’ai abanadonné un e carrière d’assistant de production en raion de cette attitude généralisée d’un secteur qui semble ignorer la législation sociale. Tous les producteurs avec lesquels j’ai travaillé, tous avaient la meême réflexion: « Si on devait respecter la législation législation française, on ne ferait plus de cinéma en France » .

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