Au sein du pôle psychiatrique Paris centre, des soignants bricoleurs vont au domicile de quelques patients soudain démunis face à un problème domestique, un appareil en panne, etc. Ils sont quatre ou cinq et interviennent deux par deux. Ils se sont appelés « l’orchestre »…
La Machine à écrire et autres sources de tracas est le troisième volet du triptyque de Nicolas Philibert consacré au monde psychiatrique, après Sur l’Adamant (2023) et Averroès et Rosa Parks (2024). Contrairement aux précédents films, nous sommes cette fois chez les patients. Nicolas Philibert a eu l’idée de cette approche après avoir appris par hasard l’existence de cet « orchestre » pendant le tournage de Sur l’Adamant. Le film est beaucoup plus court (1h15) mais apporte une note plus intimiste. On retrouve avec plaisir certains patients des premiers volets. Un peu moins riche mais toujours aussi intéressant.
Elle:
Lui :
Acteurs:
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