Elle :
Cette biographie filmée de Frida Khalo, une artiste mexicaine cassée par la souffrance de son corps brisé à la suite d’un accident et de ses échecs amoureux est attachante et poignante. Cette histoire vraie adaptée du roman de Hayden Herrera retrace le parcours chaotique et exemplaire de cette femme pleine d’énergie et de volonté. Les joies alternent avec les désillusions, la douleur et enfin une sorte de renaissance par la peinture où elle exprime intensément ce qu’elle vit de l’intérieur. Elle devient même l’amant de Trotsky réfugié au Mexique. Les images et les couleurs sont belles, la caméra est fluide et une magnifique musique mexicaine enveloppe tout le film. Une bonne surprise.
Note :
Lui :
Il y a beaucoup d’énergie dans ce film basé sur l’histoire de cette femme peintre mexicain, il y a notamment toute l’énergie que met Salma Hayek à interpréter ce rôle, beaucoup de vie, de lumière aussi, une camera mobile mais fluide et une très belle photographie. Au final, c’est un film assez prenant, qui sait faire passer des émotions fortes avec en prime quelques petites excentricités cinématographiques.
Note :
Acteurs: Salma Hayek
Voir la fiche du film et la filmographie de Julie Taymor sur le site IMDB.
Voir aussi : le site officiel de Frida Khalo
Salma Hayek est impeccable dans son rôle de Frida Khalo 🙂
La musique est magnifique en plus 🙂
Je ne me souviens plus de l’auteur de la bio de Frida que j’avais lu avec beaucoup d’émotion, Le Clézio peut-être ? Je ne l’ai pas retrouvé dans ce film qui m’a semblé assez long. Je n’y ai pas retrouvé la souffrance physique de la pauvre Frida qui, avec son corps en morceaux, ne ressemble en rien à la gestuelle de Salma Hayek et n’explique pas les tableaux de Frida si proches de ses malheurs. D’ailleurs on les voit trés peu et c’est dommage. Bon, mais cela reste une bonne approche de cette artiste trop peu connue, peut-être.
Il y a plusieurs livres sur la vie de Frida Kahlo.
Peut-être s’agissait-il du livre de Pierre Clavilier « Frida Kahlo, les ailes froissées » (2006) à moins que ce ne soit celui de Le Clézio « Diego et Frida » (1995).