28 janvier 2008

Kadosh (1999) de Amos Gitai

KadoshElle :
Film intéressant sur la vie des juifs intégristes de Jérusalem. Les hommes étudient la Torah et dominent leur épouse. La condition des femmes soumises à leur mari est révoltante. Leur mariages sont arrangés par la famille et si un enfant n’est pas né au bout dix ans, la femme est répudiée. Le film est toutefois vraiment très lent et les cadrages durent une éternité.
Note : 4 étoiles

Lui :
(en bref) J’ai trouvé le film intéressant à voir d’un point de vue sociologique. Le film est franchement trop lent.
Note : 3 étoiles

Acteurs: Yaël Abecassis, Yoram Hattab, Meital Barda
Voir la fiche du film et la filmographie de Amos Gitai sur le site imdb.com.

Voir les autres films de Amos Gitai chroniqués sur ce blog…

3 réflexions sur « Kadosh (1999) de Amos Gitai »

  1. Navrant de naivete !
    Ce film a ete realise par un juif d’extreme gauche, des plus anti-religieux. Le tableau peint par le film est absurde, tout a fait contraire a la Torah… Personne, aucun couple de Jerusalem ou d’ailleurs ne vivrait comme cela, je vous le dit habitant Jerusalem, et connaissant fort bien la communaute decrite dans ce film, ce film n’est que pure propagande, il est bon de le souligner, mais pour cela, il fait prendre la peinde de s’interesser au sujet.
    C’est un peu comme si moi, israelien, je disais que tous les francais etaient laches, la reputation que vous avez ici. Il y a bien des francais laches, tout comme il y a des juifs religieux completement stupides, mais je n’en ferais pas une majorite.
    Bien a vous, bravo pour votre site.

  2. « Intéressant d’un point de vue sociologique… » est-il écrit.
    Une phrase qui détournerait quiconque d’aller voir ce très beau film.
    L’histoire, les deux personnages de femmes, et celui du mari – très pieux contraint par sa communauté de répudier son épouse avec laquelle il vit un amour très fort et partagé – est infiniment émouvante et belle.
    Ce genre de situation tragiques pourrait exister dans beaucoup de communautés traditionnelles régies par une religion archaïque et misogyne.

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