11 août 2005

Good Bye Lenin! (2003) de Wolfgang Becker

Good bye LeninElle :
Film original de par le thème choisi. Le cinéaste a choisi de montrer par l’humour les bouleversements entraînés par la chute du mur de Berlin au sein de l’Allemagne de l’Est. Des sentiments de joie tout d’abord, mais aussi une certaine nostalgie du passé, animent cette famille de RDA. C’est pour protéger leur mère communiste qui sort d’un long coma qu’un frère et une soeur lui cachent la vérité et s’évertuent à reconstituer l’ancienne RDA dans sa vie de convalescente. Wolfgang Becker emploie un ton enlevé et humoristique pour décrire leurs péripéties, et surtout leur mode de vie à cette période. L’intention y est mais la mise en forme est un peu maladroite et poussive. On se désintéresse un peu du sujet à cause de certaines longueurs et exagérations. La dernière partie est un peu plus intéressante et attachante lorsqu’on cerne d’un peu plus près les personnages au cœur de leur vie éclatée.
Note : 3 étoiles

Lui :
Personnellement, je n’ai pas réussi à accrocher : j’ai trouvé la mise en scène un peu tonitruante et que l’histoire avait franchement du mal à être crédible.
Note : 1 étoiles

Acteurs: Daniel Brühl, Katrin Sass
Voir la fiche du film et la filmographie de Wolfgang Becker sur le site IMDB.

2 réflexions sur « Good Bye Lenin! (2003) de Wolfgang Becker »

  1. J’ai peur que vous/lui n’ayez raté ce film boulversant.

    Vous n’avez pas pu sentir l’amour incroyable de ce fils pour sa mère.

    Vous n’avez pas senti le désespoir terrifiant de la mère seule après le départ du mari.

    Vous n’avez pas compris l’impasse d’une vie de mensonges consentis de la mère pour protéger ses enfants et le mari au prix de la négation d’elle-même.

    Toute une vie de mensonges où seuls l’amour et l’humanité arrivent à donner une raison de vivre et d’espérer.

    Le scénario et sa crédibilité n’a aucune importance, c’est une parabole ironique, tendre et dure, d’une émotion merveilleuse.

    Les différences techniques du récit sont là pour nous le rappeler. Et il y a aussi quelques messages intéressants. Notamment quand le fils et son collègue discutent cinéma, et que l’on voit que la base culturelle de l’un n’est pas celle de l’autre.

    Maintenant dans l’Europe élargie, nous sommes dans une Europe où la base culturelle des uns, n’est pas celle des autres 😉

  2. Moi j’ai vraiment aimer le film après chacuns sont avie, en plus je dois avouer que l’acteur qui joue Alexander Kerner est vraiment pas mal, mais sinon j’aime bien le concept voilà de mon poitn de vue.

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